Blog Hypnose

Dans ce blog, je raconte des séances d'hypnose en préservant l'anonymat des personnes bien sûr, de façon à donner une idée de ma façon de travailler.
Je change les détails et garde la structure de la séance pour éviter que quiconque puisse se reconnaître.
Dans certains articles, je me contente d'aborder certains sujets relatifs à l'hypnose pour répondre indirectement à des questions qui reviennent souvent en cabinet.

Ce ne sont que quelques séances parmi les centaines d'autres que j'ai faites en cabinet

Un accompagnement pour un sujet de fond qui "traine" en vous depuis longtemps (anxiété par exemple) demandera un suivi thérapeutique régulier, avec parfois une impression que quelque chose a changé en séance, et parfois pas sur le moment. Le travail se fait aussi souvent entre les séances et il est important d'être présent à soi pour remarquer ce que la séance dernière a généré chez vous.

Pour un problème très circonscrit tel qu'une phobie, ou un trauma, le suivi est souvent de l'ordre de 2 à 5 séances.

l'hypnose pour les enfants

L'HYPNOSE POUR LES ENFANTS

Par Le 02/12/2020

L’hypnose pour les enfants

De plus en plus de familles se tournent vers l’hypnose pour aider leur enfant à se sentir mieux, que ce soit à l’école, dans la famille ou avec les amis.
L'hypnose pour les enfants peut se pratiquer à partir de l'âge de 4 ans 1/2. Avant cet âge, le travail thérapeutique se fait avec les parents, car souvent le symptôme exprimé par le bébé qui ne dort pas ou le très jeune enfant qui se réveille systématiquement toutes les nuits vient dire quelque chose de la famille ou du couple parental, et il est intéressant de l'explorer avec la famille.
Notons bien sûr que chaque enfant évolue à son rythme et qu'il est souhaitable de consulter un pédiatre pour un bébé avant de faire quoique ce soit d'autre.
Bien sûr il ne s'agit pas des mêmes techniques que pour les adultes avec les petits.
Avec les jeunes enfants, la communication avec l'inconscient se fait au travers d'une histoire thérapeutique.
Nous commençons par parler de ce que l'enfant traverse comme difficulté.
Puis nous n'évoquons plus son problème directement, car bien souvent il en a assez d'en parler encore et encore;
Nous commençons par apprendre à nous connaitre, créer le lien, et aller dans son pays magique.
Souvent il sait déjà y aller, car les enfants n'ont aucun mal à imaginer quoique ce soit.
Il me le décrit et m'en fait la plupart du temps un dessin, et c'est ainsi que la thérapie commence.
J'utilise également les cartes créatives de Lise Bartoli, spécialiste de l'accompagnement des jeunes enfants, et par qui j'ai été formée.
L'enfant imagine une histoire à partir de cartes qu'il tire au hasard et étonnamment, l'histoire imaginée est toujours en lien avec ce que vit l'enfant et ce qui lui pose problème.
L'histoire raconte le problème d'un héros ou d'une héroïne qui se résout grâce à un ou une alliée, qui lui apporte un objet magique.
L'enfant ne fait la plupart du temps pas le lien avec sa problèmatique et ce n'est pas souhaitable, son inconscient se charge de faire ce qu'il y a à faire pour l'aider à partir de cette histoire.
Ce n'est pas son histoire mais l'histoire du héros ou de l'héroïne.
Il y a auss presquei toujours une séance où je lui raconte une histoire spécialement créée pour lui. Elle s'élabore pendant la séance en fonction de ce que l'enfant "apporte" avec lui le jour de la séance.

Quand il s'agit d'un.e pré-ado ou d'un.e ado, je prends aussi le temps de créer le lien thérapeutique et de comprendre son monde, ses centres d'intérêt. En début de première séance l'enfant vient avec son ou ses parents pour discuter le problème puis le ou les parents quittent le cabinet et je travaille avec l'enfant seul.e.
Je lui laisse le soin ensuite de raconter ce qu'il veut de sa séance. Nos échanges restent strictement confidentiels à la condition qu'il ne se mette pas lui-même ou quiconque en danger bien sûr.
L'hypnose peut être plus formelle et "traditionnelle" avec un ado, mais doit rester ludique dans la plupart des cas.

La plupart du temps les enfants viennent un peu contraints par le parent. Il est important que d'emblée ils puissent se rendre compte de l'avantage pour eux à changer.
Il faut qu'ils en aient envie. S'il s'agit uniquement d'une demande parentale, je peux proposer dans un premier temps, une séance uniquement avec le parent pour explorer l'enjeu de la demande, les émotions du parent demandeur par rapport au souci de l'enfant, les impacts sur la famille.

Quels types de problèmes peut-on gérer avec l'hypnothérapie?

Les enfants qui viennent dans mon cabinet avec leurs parents traversent souvent les mêmes difficultés : ils ont parfois des troubles de l’attention, sont hyperactifs ou souffrent d’un trouble dys (dyslexie, dyscalculie, dysphasie ou autre), ce qui leur occasionne un manque de confiance en eux, une perte d’estime d’eux-mêmes et du découragement.
Dans d’autre cas il s’agit d’une impossibilité à gérer leurs émotions, générant des crises de colère pénibles pour l’entourage, ou alors une angoisse à l’idée de quitter le cocon familial et aller à l’école.
Il peut s’agir d’énurésie, quand tout a été investigué médicalement, ce qui l’empêche de dormir chez des amis de crainte de faire pipi au lit chez eux.
Certains ont des phobies, comme la peur panique des araignées, des chiens ou des abeilles.
D'autres éprouvent de réelles difficultés à s'endormir ou sont réveillés par des cauchemars voire des terreurs nocturnes.

Nous commençons à la première séance par parler tous ensemble du problème et chacun donne son point de vue.
Il faut souvent plusieurs séances pour un problème installé depuis longtemps. Si aucun changement n’est constaté au bout de 3 ou 4 séances, cela signifie en général qu'il y a une résistance inconsciente au changement qu'il nous faudra explorer, ou que le problème est entretenu par le système familial, auquel cas il sera intéressant de faire des séances avec l’enfant et ses parents, voire même les frères et sœurs s’il y en a.

Lorsque j’accompagne un enfant, mon but est de le guider à changer puis devenir autonome. C’est pourquoi je lui demande parfois de faire des exercices entre les séances, que ce soit de la sophrologie ou de petites tâches particulières.
Les enfants n’ont la plupart du temps aucune difficulté à entrer en hypnose et nous imaginons souvent ensemble une histoire métaphorique en lien, de près ou de loin, avec leur problème.
Cela va activer des changements inconscients et leur permettre de cheminer à leur rythme vers la résolution ou l’amélioration de la problématique.
Les histoires évoluent au fur et à mesure du cheminement de l’enfant, jusqu’à ce qu’il sache gérer son problème initial.
Parfois cela peut passer aussi par le dessin, ou de petits jeux hypnotiques activés par l’imagination : un bras qui se soulève au fur et à mesure qu’un travail intérieur de libération s’effectue par exemple.

L’accompagnement se termine lorsque l’enfant se sent capable de gérer ses devoirs calmement, a confiance en ses capacités, connaît sa valeur, s’accepte comme il est, sait se concentrer quand il en a besoin, ou parvient à contrôler son comportement avec sa famille ou ses amis, voire s’est libéré de sa phobie ou de son énurésie.

Les séances sont la plupart du temps espacées de 15 jours pour laisser à l’enfant le temps d’intégrer le travail effectué ensemble en séance.
Chaque enfant peut changer, c’est une question de temps. Pour certains (rares il faut quand même le dire) une séance suffit à créer un vrai mouvement et le transformer, pour d’autres il en faut au moins 3 ou 4, voire beaucoup plus, pour obtenir le déclic et évoluer vers quelque chose de plus satisfaisant pour l'enfant et sa famille.

 

Retourner dans le passé sous hypnose

UNE REGRESSION DANS LE PASSE AVEC L'HYPNOSE

Par Le 07/10/2020

Du canoé dans les roseaux

A., la trentaine, vient me voir en 2ème séance. Il n’a pas l’impression que grand-chose a bougé depuis la 1ère séance et voudrait vraiment apprendre à réguler ses émotions. Depuis toujours il est hypersensible, et pleure facilement, ce qui lui valait des remarques désobligeantes de la part de son père dans son enfance.
Il est artiste et se met la pression quand il dessine pour ses projets personnels. Il a l’impression d’être trop tributaire du regard des autres.
Il est très mal à l’aise en société lorsque le groupe d’individus dépasse 5 et devient alors comme transparent, car il ne peut pas surveiller la réaction de chacun.
Il a aussi des petites obsessions qui lui pourrissent la vie, des détails sur lesquels il s’attarde car tout n’est pas parfait, et qui le bloquent, qui l’empêchent même de respirer.
Il souhaite contrôler mieux ses émotions et s’affranchir du regard des autres, se permettre, s’autoriser à être vraiment lui-même.
Globalement tout va bien dans sa vie et il a l’impression de se saboter lui-même ; il veut avoir confiance en lui.
Il a l’impression de ne pas s’être complètement laissé aller lors de la 1ère séance.
Alors on teste ensemble des trucs hypnotiques rigolos, histoire de voir ce qui lui convient le mieux. Et quand il imagine qu’il a 2 aimants dans les mains, au lieu de s’attirer elles se repoussent. Je l’encourage à laisser faire et peu à peu A. entre dans une transe de plus en plus profonde alors même que ses mains sont en mode automatique et finissent par se joindre et se relâcher complètement sur les cuisses, avec tout le reste qui part en transe hypnotique.
Puis je demande à son inconscient de voyager dans le passé, aller chercher un plus jeune qui a manqué de quelque chose, en lien avec ce que l’on travaille.
Et je fais parler A.
Il est à bord d’une sorte de Nautilus en bois et voyage dans son passé. Au début il ne voit rien que du noir et des roches ; puis il y a des algues, du vert et une sorte de canyon. Et il se retrouve dans un souvenir très ancien où il fait du canoé tout seul dans les roseaux verts. Ses parents ont demandé au loueur s’il n’est pas trop petit et le loueur a dit : « non, il peut prendre un canoé tout seul ».
L’inconscient a choisi ce souvenir là plutôt qu’un souvenir difficile comme il lui était suggéré et il a bien fait ! A. m’expliquera plus tard qu’il s’est senti capable, comme si à l’intérieur ça lui disait : « tu es capable ! ».
J’invite ensuite l’inconscient à examiner tous les souvenirs de théâtre, d’animations de spectacles du passé pour en retirer tous les apprentissages utiles pour A. de manière qu’il puisse apprendre à être aussi libre du regard des autres dans la vie future, que dans ces expériences passées.
L’inconscient intègre tout ça et en profite pour installer le régulateur d’émotion à l’intérieur (A. le voit comme une sorte de robinet qu’on ferme plus ou moins).

Puis A. ressort de sa transe hypnotique et est très étonné. Cette fois il est mieux parti ! Il ne voyait aucune machine à remonter le temps au début, puis est venu le Nautilus en bois, et ensuite il ne voyait rien à travers le hublot du Nautilus, et c’est survenu d’un coup à sa grande surprise.
Quelques semaines plus tard, A. m’envoie un message pour m’informer de ses changements dans ses relations aux autres, dans ses projets professionnels et de sa grande satisfaction à propos de tout cela.
Bref, une séance très fructueuse pour lui et je m’en réjouis !

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Une grosse peur d'enfant

UNE GROSSE PEUR D'ENFANT

Par Le 03/07/2020

Mortelle Adèle et l’ami imaginaire

C’est une pétillante petite fille de 9 ans qui vient me voir avec sa maman. Je vais l’appeler Clémentine.
La première chose qu’elle fait est d’aller à la fenêtre voir son école qu’elle n’imaginait pas du tout comme ça vue du 9e étage de mon cabinet, et cela semble l’amuser.
Elle me dit qu’elle a peur d’aller seule dans sa chambre pour ranger ses vêtements car il y a une silhouette noire effrayante près du rideau, en partie cachée par l’armoire.
Ses yeux se remplissent de larmes.
Elle ne voit que la tête de la silhouette jusqu’au milieu du front et ne veut pas la regarder tellement elle lui fait peur.
Elle me montre aussi le dessin d’un monstre dans un livre de son frère qu’elle ne peut pas regarder car elle imagine qu’il va sortir du livre et lui faire du mal.
Lorsque je lui demande ce qu’elle aime faire, elle me répond qu’elle aime lire des histoires de mortelle Adèle. C’est une petite fille qui n’aime pas les trucs de fille comme le maquillage et qui est très rigolote : par exemple, lorsqu’elle reçoit un livre en cadeau elle le trouve très pratique pour caler un pied de meuble bancal. Clémentine rit de bon cœur.
Le plus intéressant dans tout ça est son ami imaginaire Magnus qui se transforme au gré de ses besoins et l’aide dans sa vie.
"Et toi Clémentine ? Si tu avais un ami imaginaire, il s’appellerait comment ? "
La réponse fuse instantanément : "il s’appellerait Christophe ! et il serait complètement bleu turquoise (sa couleur préférée.)"
On fait un petit jeu pour commencer ensemble. On imagine un fil invisible au-dessus de la main gauche,, tenu entre l’index et le pouce de la main droite. On déplace la main gauche vers le haut, vers le bas, vers la gauche, et je lui demande tout à coup: "et que se passe-t-il si la main droite lâche le fil?" et Clémentine lâche aussitôt le fil en laissant tomber brutalement la main gauche sur la cuisse. Je l’imite et elle éclate de rire.
On recommence l’expérience et de nouveau on s’amuse à laisser tomber la main.
Puis elle ferme les yeux et imagine que cette main se soulève un peu et l’aide à partir dans un rêve.
Je lui suggère de demander à Christophe d’aller voir la silhouette et lui demander ce qu’elle veut. "La silhouette ne veut pas parler" dit Christophe. Mais il trouve le moyen de lire dans ses pensées et comprend que la silhouette veut juste voir Clémentine. Elle s’approche de la silhouette en restant derrière Christophe, qui lui dit que la silhouette veut juste une amie. La silhouette commence alors à se transformer en licorne après un moment de négociation, quand Clémentine accepte d’être son amie.
Elle n’a plus peur du tout.
Puis à l’aide de Christophe elle transforme le monstre du livre en une créature tout à fait sympathique et colorée et elle n’a plus peur.
Et quand sa maman lui rappelle qu’il y a aussi les araignées qui lui font peur, elle les transforme en singes rigolos avec Christophe et n'en a plus peur non plus.
Elle réalise ensuite un beau dessin de tous ces nouveaux personnages et repart en jetant un œil une dernière fois sur la cour de récréation vue d’en haut.
Magique!

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Récit d'une séance d'arrêt du tabac sous hypnose

ARRETER DE FUMER AVEC L'HYPNOSE ET SE SOUVENIR DE SA GRAND-MERE QUI FUMAIT

Par Le 11/06/2020

V., trentenaire, vient me voir pour arrêter de fumer. En fait il a déjà arrêté pendant 3 mois, mais quand il sort, il ne peut pas s’empêcher de fumer dès qu’il boit de l’alcool.
S’il reste chez lui, il n’a aucune difficulté à ne pas fumer.
Son médecin lui a expliqué qu’il a des récepteurs sensibles qu’il réactive à chaque fois qu’il fume, si bien qu’il finit immanquablement par refumer même en dehors des soirées.
Il fume au maximum 10 clopes par jour dit-il, et ce depuis qu’il a environ 16 ans.
Il trouve que c’est mauvais pour sa santé et aussi par moments il en a marre de sentir la cigarette.
Quand il avait arrêté il y a un peu plus de 6 mois, il n’avait fumé que 2 cigarettes en 3 mois.
V. est intermittent du spectacle et était en tournée à ce moment là. C’était plus facile pour lui.
Dès qu’il est sorti un peu plus, il est retombé.
Il s’en veut un peu quand il fume et en même temps il trouve ça sympa, comme une vieille habitude qu’on aime bien.
V. est cameraman et les moments où il filme le transportent un peu ailleurs.
En fait, il arrive sur un lieu, et parfois, il n’a aucune inspiration et puis il va remarquer un petit bidule qui va l’intéresser et là il va partir.
Il y a un moment où il va un peu rentrer dans ce truc où il ne va plus voir l’endroit de la même manière.
Alors, on y va ensemble.
V. ferme les yeux, se laisse aller et commence à imaginer qu’il arrive quelque part avec sa caméra, dans un lieu qu’il aime bien.
Et à un moment arrive cette idée, ce petit truc qui l’intéresse, et il laisse son attention se focaliser sur ça.
Et il en profite pour plonger dans cet espace intérieur, et se rappeler comment c’est vraiment, quand l’idée surgit, et qu'il ne voit plus l'endroit de la même manière.
Une fois qu’il y est plongé, à l’intérieur de son lieu à lui, avec sa caméra, j’invite l’autre part de lui, celle qui fait venir les idées, les émotions, le petit truc qui l’intéresse, et qui fait tant d’autres choses pour lui,  à travailler avec la partie qui aime fumer et avec la partie créative, et elles  trouvent d’autres choix possibles, sans fumer, tout en continuant à remplir la mission de cette partie pour V. Et parmi les choix possibles il y en a un meilleur que les autres, qu’elle choisit et qu’elle teste pour de vrai de l’intérieur.
Ensuite cette part inconsciente identifie les contextes, les situations associées à cet ancien comportement, comme le verre d’alcool, et tellement d’autres, conscients ou inconscients, et coupe les liens entre les 2, puis relie tout ça à une belle image de V., libéré de cette ancienne habitude pour toujours.
Et pour finir, j’invite cette part inconsciente à retrouver dans l’histoire de V. 3 souvenirs où V. a eu une grande volonté pour faire quelque chose qu’il estimait difficile à réaliser, de manière à en extraire toutes les ressources et les mettre automatiquement à la disposition de V.
Et des larmes se mettent à couler sur les joues de V.
Je l’invite à laisser cette émotion le traverser pendant qu’à l’intérieur elle délivre son message à V.
On prend quelques minutes pour s’assurer que le travail à faire se termine comme il est bon qu’il se termine pour lui, en s’assurant bien que tous les changements à venir seront bons pour lui sur tous les plans de sa vie.
V. sort de transe et me dit qu’il est surpris : il a ressenti une grande tristesse, comme on laisse un doudou. Il s’est retrouvé avec sa grand-mère qui fumait.
Il s’est vraiment passé un truc d’après V. et c’est très surprenant pour lui.
Il a l’impression d’avoir fait un petit deuil et ne s’attendait pas à lâcher son doudou.

Avant de se quitter, je propose à V. de me recontacter pour renforcer le travail s’il en a besoin tout en lui disant que je ne pense pas que ce sera nécessaire (car j’ai l’intuition qu’on a fait ce qu’il fallait ensemble, mais ça, je le garde pour moi, après tout ce n'est qu'une intuition), et qu'il va voir avec le temps.
V. n’a pas eu besoin de revenir….

Plus d'informations sur comment arrêter de fumer avec l'hypnose

 

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